Lifting Mamie:Geriatric School Musical (épisode 7)
align=center]"Now everybody move, move
Now everybody shake, shake"[/align]
lança Yaya lorsque Pépé Sallertain, ancien chirurgien au Seattle Grace Hospital, venait de lui recoudre le crâne, chirurgie à rides ouvertes. De plus, il lui avait donner des quinolones formolées pour diffuser dans le Système Nerveux Central alias le SNC. Mais en faisant la reconstruction nosocomiale, le nanocerveau de Yaya avait été touché, conduisant la loque gériatrique à parler en anglais et danser tribalement en remuant les rides de son corps, et notamment celles de ses flasques fesses.
Et hop (h muet): un coup de popotin à gauche, triple volée vers la droite, coup de pied au trou et mouvements pervers laissant entr'ouvrir la terrrrrrible vérité musicale...
Gloriatrix, quant à elle, errait d'une manière inaltérable dans les terribles tréfonds de la Côte
[align=center]"Btoudoutouptou, Btoudoutouptou, come on!" [/align]s'écria Gloriatrix, à tort ou à raison (ou pas). Sans savoir d'où cela venait - certainement de la digestion de la dite ("fiente") oniriquement avalée - Gloriatrix fut prise de convulsions transitoires dignes d'une incantation pour appeler Gériatrix... Mais à quelques kilomètres de là, Yaya avait les rides du sourire aux lèvres, alors que l'on voyait au ralenti une onde de cellulite se mouvoir sous la petite jupe en laine qui habillait pervertiquement l'espionne gériatrique: elle savait à cet instant que Gloriatrix allait bientôt assouvir l'Avènement du Grand Pouvoir, alias l'accomplissement de la Prophétie la Destruction la Puissance la PO
[align=center]"Lilalila lila lilalilala, j'adooooooooore la musique-euh!"[/align] s'égorgea Yaya, dansant à qui mieux mieux, de façon inéluctable, d'un pas qui prenait les viscères à partie, à désensibiliser toute pudeur sur terre...
C'est alors qu'elle s'égosillait en mettant en mouvement cinétique ses deux gigots que Yaya s'écroula par terre, le crâne ouvert et purulent, la substance têtienne s'écoulant sur le sol poussiéreux et sale de la salle...
Pépé Sallertain dit alors:
"Vivement la fin!".
Le bras droit de son corps avait une main. Cette main avait trois doigts. Dans ses doigts, il y avait l'arme qui avait servi à défragmenter l'os occipital de Yaya, pour détruire irréversiblement toute vie ridienne de son corps.