Lifting Mamie: The Advent of The Great Power ... (episode final - 2)

Gloriatrix était décidé coûte que croûte ou presque d'empêcher au sens latéral du terme toute carcasse géraitrique qui s'emparerait du coffre révélateur afin d'invoquer l'AGP de

La O

, alias l'AGP, alias

la PO

, alias

la Destruction Ultime

Des Jeunots Présents Sur Terre Aux Moeurs Dégoutants Et Pervers Sans Aucune Morale Gériatrique Gouvernant

La Vie Sociale

Dépravée, alias

la DUDJPSTAMDEPSAMGGL-VSD

... Non mais oh: même si pour elle, sauver l'Univers Jeunotesque de la désintégratio par le Vent était râgoutant, comme l'est aussi bien une poule au pot qu'une crème aux pruneaux, elle ne voulait pas que par la même, the United Nations of Geriatric Spying, alias l'UNGS, n'ait plus de cadavres formolés au bord de la décomposition gériatrique à recruter, alias que ce soit la fin du Monde du Troisième Age. Ceça, en effet, serait bien pire que la cryogénisation, qui d'ailleurs est inefficace contre l'effet pervers des Télomérases, tout autant que le Botox...

Bref, Gloriatrix avait pour but gériatrique de détruire le Touffe de Jack's, puisqu'apparemment il reviendrait sur terre pour botter les fesses et la graisse de couverture de ses ennemis les plus éminants !! Cependant, elle errait sans fin dans

la Côte

d'Ivoire, à l'image d'un morpion piégé dans une forêt équatoriale, humide et pubienne: elle traînait, par la force de ses muscles presque desséchés (puisqu'elle n'avait pas reçu d'injection intra-péritonéale de formol depuis plusieurs jours) par l'effort, la transpiration et la constipation, le fameux coffre extraordinaire qui était à l'origine de toute cette histoire particulièrement inintéressante... L'histoire ne dit pas comment elle a récupéré le dit coffre presque magique, ce serait trop long à expliquer. D'ailleurs, on ne sait même pas si ce coffre l'a quitté une seule fois depuis qu'elle l'a eu entre les rides des mains, qui par ailleurs étaient plus humides et frippées que ses muscles.

En tout et pour cause (??), elle dut s'assoir sur une bite d'amarrage près du port près de la mer qu'elle longeait après avoir serpenté, tel un ver solitaire dans un contenu intestinale, dans une forêt limite équatoriale, à l'image de l'environnement familier des morpions de SM, en plein décrépissement cadavérque depuis son affrontement contre l'habile Pépé Sallertain, autant du bassin que de ses mains...Le soleil lui brûlait les rides au sens propre; ses porte-jartelles faisaient rétention d'eau, malgré une chaleur transpiratoire et abrutissante. Sa gaine de contention avait la même fonctionnalité pour le haut de son pseudocorps. Les paramètres physico-chimiques de l'atmosphère (température, humidité, bite d'amarrage malaxante, iode marin, fientes d'oiseaux, amines putréfactives de rat en décomposition) lui permettaient cependant de rester dans un état de relaxation gériatrique intense, à tel point qu'elle succomba une fois de plus à un semi-sommeil régénératrique...

Malheur lui en fut... se dit-elle à son réveil...